Wipplay et son « JOURNAL du ARLES » aux Rencontres de la Photographie

par Wipplay
© Wipplay

C’est devenu le rendez-vous incontournable de l’été pour tous les dingues d’images. De juillet à septembre, les Rencontres de la Photographie d’Arles racontent un état de la photographie mondiale et contribuent à mettre en avant les nouveaux talents à travers une soixantaine d’expositions.

Comme chaque année, Wipplay était comme un poisson dans l’eau dans cette effervescence artistique invitant photographes et agents, curators, directeurs d’institutions et journalistes.

Fidèle à notre ADN « Pop Culture », nous éditions, pour la 2ème année consécutive, Le Journal du Arles, sorte de Pif gadget photographique et quotidien.

L'équipe Wipplay distribue son journal N°2 dans les rues d'Arles © Wipplay

Ovni éditorial, Le Journal du Arles est  une édition quotidienne, tirée à 500 exemplaires-pas-un-de-plus, sur un papier A3 et distribuée par une équipe incroyable (nous) chaque jour, à l’heure de l’Apéro.

Bien que complètement gratuit (grand merci au passage à L’Ecole Nationale de la Photographie que nous envahissons littéralement pour imprimer nos exemplaires), Le Journal du Arles offre des contenus exceptionnels :
– une plume signe l’édito (Bertrand Tavernier, Timothée de Fombelle, Oliviero Toscani etc.),

– un invité des Rencontres raconte les dessous de son travail,

– un horoscope photographique vous guide dans la jungle artistique et émotionnelle du Festival,

– sans oublier « Les jeux de l’été », les « petites annonces » et les « fausses rumeurs », qui n’épargnent aucun photographe, présentent les acteurs de la photo quand ils étaient enfants ou réussissent le challenge incroyable de vous mettre « In bed with Sam Stourdzé » (le patron des Rencontres CQFD).

 

Dire qu’on va éditer un « Pif Gagdet » de la photographie, c’est assez ambitieux. Et il faut essayer d’être à la hauteur de la légende. Nulle parution, donc, sans un objet à détacher et à collectionner !

Wipplay s’est lancé dans une mini-série de cartes postales grâce au soutien de quelques wipplayers. Chaque jour, notre équipe de 50 journalistes 6 personnes (au maximum) ont imprimé et collé ces objets éditoriaux, rapidement devenus des collectors.

 

Le Journal du Arles n°1 en préparation © Wipplay
Atelier 100 % maison #StartUp © Wipplay

A 18h30, chaque jour , les wipplay partaient en « mission diffusion » pour amener la bonne parole dans tous les lieux stratégiques.

"Demandez le journal !" - Une équipe de choc à l'heure de la criée. © Wipplay
  • L'équipe Wipplay distribue Le Journal du Arles N°3 en compagnie de Thierry Bouët © Wipplay
  • Le Journal du Arles n°3 © Wipplay
Edition du soir avec Pablo Escobar à l'intérieur ! © Wipplay
  • Le Journal du Arles #2 quelques minutes avant sa distribution © Wipplay
  • Le Journal du Arles #5 est dans les bacs ! © Wipplay

On ne saurait vous le cacher : les 1ers jours ont été un peu difficiles. Les festivaliers harassés par la chaleur,  cultivant un entre-soi de rigueur, ne prêtaient que peu d’attention au Journal du Arles. Mais après 48h… il a fallu résister aux demandes de ré-impression

  • « NON – il ne reste plus d’exemplaire du lundi »
  • « NON – vous ne pouvez pas non plus en prendre 10″
  • « OUI, c’est Martin Parr enfant dans le journal aujourd’hui »

 

Une lectrice du Journal du Arles © Wipplay
Dune Varela - lauréate du prix BMW et son Journal du Arles © Wipplay

Un public hilare se précipitait chaque soir, pour venir chercher horoscope et dernières blagues ciselées. Petit poisson malicieux, Le Journal du Arles aura réussi sa mission : épingler sans relâche et avec bienveillance l’ensemble des cétacés photographiques.

Comme disait le grand Charles : « VIVE LA PHOTOGRAPHIE LIBRE ! » et à l’année prochaine.

Wipplay team ! © Wipplay