Paris Photo 2018, les coups de coeur de l’équipe Wipplay.

par Wipplay
© Tod Papageorge

La foire internationale de la photographie PARIS PHOTO est ouverte jusqu’au dimanche 11 novembre. L’événement qui se déroule comme chaque année au Grand Palais présente cette année de nombreuses pépites. L’équipe photo de Wipplay vous partage ses meilleures trouvailles !

 

Guy Tillim (Stevenson Gallery)

Ses scènes de rues ne sont pas sans évoquer les photographies de Paul Graham. Tirées en grand format, les images présentées en diptyque nous emmènent dans les rues des capitales africaines.

© Guy Tillim

Tod Papageorge (Galerie Thomas Zander)

Ses déambulations dans les rues new-yorkaises des années 70 sont présentées sous forme d’une dizaine de tirages couleur 40x50cm. L’ensemble cohérent nous plonge dans un véritable décor de cinéma. Un pur régal !

© Tod Papageorge

Pieter Hugo (Stevenson Gallery)

Présentés en grand format (carré principalement), les portraits “crus” de Pieter Hugo interpellent, nous interrogent sur les communautés africaines et leurs pratiques. Ce travail se situe entre la tradition documentaire et la pratique artistique.

© Pieter Hugo

David Lachapelle (Galerie Bene Taschen)

Cette série d’une dizaine de tirages nous emmène dans l’Amérique des années 60/70’s. David LaChapelle construit des « néo-collages » à partir de photographies acquises de réunions de famille intimes en Amérique. Il introduit des objets et des personnages supplémentaires, qui n’ont rien à voir avec les images originales. Empêchant le spectateur de discerner les images originales des reproduites, ces manipulations (drapeaux, armes à feu, slogans et autres signes du pouvoir américain) agissent comme une critique du « rêve » américain, présent dans les photographies de l’époque.

© David Lachapelle
Gregory Crewdson
Dans l’univers de Crewdson, les images sont fortes, puissantes et intenses. De jour comme de nuit.
© Gregory Crewdson

José Luis Duarte

Une série du photographe à l’ esthétique rétro est à découvrir. A l’image de ce tirage, ce travail prend un accent de bal de promo sud-américain. Belle découverte.

© José Luis Duarte

Tim Walker

L’imaginaire de Tim Walker est peuplé d’animaux colorés qui baignent dans un décor pastel. C’est un rêve éveillé, celui dans lequel on aimerait bien se retrouver.

© Tim Walker