c'est la truffe dans le clavier, à travailler son ressenti et son flair, que les yeux se lèvent à comprendre investir son temps. Un jour, on se réveille, collier au cou, il gratte pas de l'avoir depuis toujours, et l'on ne sais pas vraiment à quoi on ressemble, on recherche surtout à faire plaisir à son maitre, on s'acclimate comme on peu à la vie que l'on à, de se dire " c'est comme ça", jusqu'à comprendre qu'aboyer bien fort n'amène personne à comprendre de quoi on parle, juste la preuve d'une existence, un bruit persistant dans le jardin d'éden, et à chercher, renifler la bonne odeur, jusqu'oublier la sienne, on vois passer ce que l'on ne vois pas souvent, voir même découvre, dans une surface aussi lisse que de l'eau et assez solide pour être mouillé, son reflet dans la couleur de ce que l'on regarde. Avant on ne remarquais pas, mais la, il y a quelque chose qui reflète sa bonne gueule de cabot, le bon chien découvre ses trait dans ce qui l'attire. il est content le toutou, il saute partout, se roule partout et joue des quatre fers à oublier son enfer, mais, dans l'arrêt du jeux, dans le silence des encouragement, les barreaux qui sépare son reflet du toucher apparaissent bien plus vieux, laissant penser que ça fait longtemps que c'était la, mais bien trop occupé au reste, c'était inaperçu. La peinture écaillée laisse à penser depuis combien de temps ceci ce trouve la, cette barrière, cette distance d'être libre, c'est dimension qui cloisonne, ces perspective qui n'iront pas plus loin. Le jardin, s'il n'est pas la, servirait il encore a grand chose de n'y voir personne se balader ? mais les barreaux, sont-ils vraiment ceux qui l'empêche et l'emprisonne, ou le protege d'en garder une distance ? Au final, qui regarde qui, le chien ou celui qui le découvre ? la réponse se trouve dans les barreaux, je pense.