"Ne parles pas, cela ne sert à rien" Quoi que tu dise, ce que tu diras ne sera que le signalement de ce qui en est l'écho, la preuve d'une ignorance que l'on ne cherchera pas à creuser, tant la certitude définira mieux que toi même, les signaux de ta volonté. As tu déja pris le temps de te demandé si l'action que tu entreprends, signalait quelque chose de plus profond, comme un message malgrès toi, le son d'une intention, l'expression d'une image, l'ambiance d'une suspicion, orientant ce vers quoi tu t'approche vers l'opposé de toi même, à croire de toi être l'alerte d'un danger, que l'identité d'un reflet, celle d'être unique ? Tu sais, ce fameux sentiment de ne pas être entendu à ta juste valeur, d'être reconnu par ce qu'il se sait de toi, jusqu'à correspondre à l'image qui te ressemblera. Cette même image laissé pour et tel quel à te reconnaitre, celle de la rémanence d'un chemin passé dans l'ignorance. T'en fais pas, comme toi, ils comprendront. Ils n'ont pas choisi être le design de leurs idées, qui sont jusqu'à ce qu'ils se regardent vraiment, pas les leurs. Tu ne t'étais jamais vraiment demandé être l'emblème d'une idée malgré toi n'est-ce pas ? A te protéger du regards des autres d'apprendre à reconnaitre leurs traits pour ce qu'ils sont, la preuve factuelle de l'irrémédiable, l'exemplarité de qu'ils sont, le repère de l'évidence de ce qui les définis, d'en être la parfaite manifestation, eux. " Ceux la, tu sais " Mais t'étais tu déjà autorisé le temps de te demander, si ce qu'ils sont, ce que tu sais remarquer d'eux, n'était que ce que tu es de toi même, d'être tout ce que tu sais remarquer ? On ne peux reconnaitre que ce que l'on sais, si l'on ne sais le distinguer du reste. L'experience est l'apprentissage de la définition, transmettre c'est faire reconnaitre la confiance en ce que l'on défini, pour apprendre à reconnaitre ce que l'on défini. Mais si ce qui nous à été appris n'est que la confiance en ce que l'on expérimentera pas, la confiance en ce que l'on apprend, ne reviens qu'à celui qui nous le transmet non ? Alors comment certifier ce qu'il nous a été transmis être de confiance, si la confiance que l'on accorde, ne nous permet de reconnaitre que la traduction d'une expérience ? Les codes sociaux, sont des langages inconscients remplis de signaux et d'informations utiles à la définition de ce qui est de confiance, par l'expérience de ses mouvements dans la société. Ils s'influencent par l'expérience de ce qui oriente la lecture de ses mouvements, par la confiance en ce qui les construits, le respect qui les approuves. La confiance transmet elle par ce qui la structure, la somme des expériences qui la définissent ? Car si les liens transmettant les codes de sa raison définissent l'experience de son partage, alors l'influence de ce qui structure la lecture de ses codes, orientera le mouvement de ce qui en sera lié. L'experience de l'emprisonnement entraine par l'expérience de la désorientation la responsabilité d'une lecture de la confiance, comme la responsabilité d'une liberté d'expérimenter l'orientation de sa confiance par ce qui la libèrera. L'orientation de la confiance, c'est la lecture de sa prison. Alors, la lecture de ce que l'on sais, est-elle transmise par la confiance en ce qui influence les mouvement de notre confiance, comme des biais ? Imaginons que ce que tu sais, n'est qu'en fait que le design d'une forme réfléchie pour diffuser la lumière d'une idée qui en est l'ampoule. Saurais-tu réellement le message de sa lumière et l'intention de pourquoi elle s'allume, si le message de son intention à s'allumer, est polarisé par ce qui se met entre le chemin de son existence, et le regards que tu poses sur sa diffusion ? Comprendrais tu réellement son message, de n'être lu que par ce que tu sais, au travers de la confiance qui le polarise, et non, par ton intention à vouloir comprendre pourquoi elle transmet un message, et donc le définir par ta propre expérience ? Ne serais-tu pas en présence d'une évidence à reconnaitre là, un paradoxe ? Car comment comprendre la nature d'un message, quand la manifestation de son signal, n'est lu de ta part qu'au travers de la confiance en la méthode qui te permet de le lire, celle que l'on t'a appris, ou que tu as mimiqué par confiance ? T'étais tu réellement laissé le choix de cela, de ne pas apprendre le choix pouvoir te tromper ? Car si la fonction d'un signal est de transmettre, le message de sa transmission n'est compréhensible qu'à ceux en parlant la langue. Mais alors, comment parler le langage que tu ne maitrise pas, celui de l'induction, si ta certitude ne peux être que la preuve de ton savoir, pouvant être influencé par l'environnement et la confiance que tu accordes, dans les choix conventionnés qui ne te sont pas laissé ? Si tu ne conçois être toi même l'enfermé de ton propre savoir, comment apprendre à savoir autre chose que ce que tu sais, si tu n'acceptes pas l'idée d'en être toi même une ? Ne parles pas, cela ne sert à rien, acceptes juste avoir tord sur une chose, tu ne sais rien, il te suffis juste, de demander au delà de ce qu'il tes laissé à comprendre, par toi même.