Vous voila dans un cauchemar vivant, un labyrinthe que vous pensiez sympa à faire, tout souriant et courant d'un air enfantin à l'aide de vos amis, imaginaires. Une fois dans l'action, la foule, le bruit, le mouvement, un changement de votre oreille interne s'effectue comme un mauvais jet au dès, et vous vous exécutez de balancement tant vous perdez votre sens de l'orientation, votre odorat se fatigue de lui même à chercher quel type de fumet il respire quand il aperçois un poulet frit, dominé d'un être vous ciblant comme le semblable de ce qu'il vous vend. Vous êtes comme sur cette chaise en cuir blanc motorisée auprès de laquelle se trouve un petit robinet remplissant un godet qui vous aide à cracher les morceaux de votre douloureuse molaire, que ce que vous pensiez être un dentiste vous gratté, jusqu'a ce que l'anesthésie s'emballe et vous voila dans la pièce du boucher, ou il s'adonne à couper en morceau votre sympathie à jouer à ce jeu. A la quête de l'ordre légitime de votre reine, vous vous effectuez corps et âme pour le bienfait de votre colonie, mais qu'en est-il de votre survie dans ce monde ou l'air presque inexistant est rythmé par le passage de mastodontes cracheur de fumée, de passages pour votre collecte de sucre ou vous ne pouvez à peine bouger une mandibule, pour vous faire dévorer par cette langue qui tel un hameçon viens vous chercher jusqu'à votre cache, vous qui pouviez seulement dire, fuck. les lunettes de soleil sont le seul souvenir valable au nom de cet endroit qui depuis très longtemps maintenant, c'est éteint, et laisse les habitant éclairé de leurs applications sociales, caché du regard qui un jour leurs sera nécessaire, celui que le miroir ne donne pas, celui que les amis n'avouent pas, tant on pense qu'ils sont heureux la-bas.