On l'appellera Jérome, émotionnel personnage à la coiffe un peu éventé, qui tien plus du nounours que du punk mais n'en garde pas moins la cape rebelle qu'il l'accompagne tout les jours, parfois trop, laissant dans son sillage le meme passage que les hélices des hélicoptères dans platoon, je parle bien de celle qui nous accompagne aux moment qui regis la regle des 3C, qui nous ponctue la fin d'un bon repas, ou d'une conversation tardive à se faire voler par nous autres, accompagnateurs temporaires de cette addiction vitale, qu'est de la créatrice de liens sociales depuis plus de cent ans, la cigarette. C'est d'un rhum et d'un additif au sucre qu'il est l'amant, avec tant de d'histoire au travers du propre contenu de sa boisson, comment ne pas deviner qu'il aime le commerce, lui qui pendant longtemps, à agis de l'oeil du " beau " pour le commerce mais avant tout par plaisir, pour ceux ayant un instant d'instruction à l'immortel immatériel, passé sous vide et déballé tel une anecdote, lors de l'exposition du dit matériel qu'il lui ont acheté. Tant de poésie pour de la broc, les blagues de cul ça y connais, mais c'est le coeur des gens qu'il reconnais, ne pas le confondre non plus avec une mauve guimauve, il sais très bien utiliser l'archet pour montrer qu'il en à encore des corde vocales. Un mec gentil, qui dans ce monde ce perd, tant plein ne comprennes pas la franchise de cette espèce et la connote masque, pour passer a coté de ce qu'il y a vraiment à comprendre. Dit lui qu'il faut qu'on s'organise, et t'y vera un rictus. Pas de masque chez lui, qu'une leçon éternelle de gentillesse que seul les gens gentils voient ce qu'il est, un authentique râleur.