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it's all about
reframing...and making sense of the world
engaging in a meditation about what I see, feel and think in a particular moment.
offering a perspective on the world, an incentive to enjoy and an invitation to join the flow, the profound connection with a place.
a fascination des maîtres
La force des photos de Sebastiao Salgado sur la famine et les migrations dans la région du Sahel publiées dans National Geographic vers la fin des années 80 est pour une large partie responsable de cette relation privilégiée à l’image photographique qui va se développer dès lors.
Au fil des années s’ajoutent d’autres repères d’inspiration: très tôt ce sont les travaux de Michael Kenna, Josef Koudelka et Mario Giacomelli avec intérêt grandissant pour les auteurs et leurs démarches… plus tard des photographes comme Pentti Sammallahti et Stephan Vanfleteren.
Ce sont avant tout les livres d’auteurs et les grandes expositions monographiques qui me fascinent, inspirent et perturbent.
…et mes propres photos?
La recherche d’un sentiment de connexion et de « résonance » avec un lieu ou une situation se développe en besoin primordial. Quand le « flow » s’opère, ce sont des moments privilégiés, des moments magiques… (un état d’âme secondaire que ma conjointe arrive d’ailleurs à détecter dès les premiers instants…;-)
L’image qui en découle éventuellement ne représente qu’une interprétation personnelle, une réalité subjective démunie de toute ambition d’objectivité. Force est de constater une certaine affinité pour les milieux naturels avec parfois des humains dans des postures d’interaction ou de contemplation avec cet élément naturel...
Je ne peux nier également un certain aspect obsessionnel qui parfois m’amène à ne pas quitter un lieu sans en avoir distillé au moins une image qui me semble représentative de ce lieu.
Le travail exclusivement en noir et blanc s’est imposé naturellement et je ne l’ai jamais remis en question. Le n/b m'apporte ce degré de simplification et d’abstraction qui permet de me détacher du réel et fournit les outils pour une réinterprétation personnelle
Autant que les grands maîtres ont su m’inspirer, j’ai le désir que mes propres images rencontrent un public; qu’ils aient une valeur et une signification pour autrui. Les plateformes en ligne, comme notamment WIPPLAY en sont un excellent moyen, accessible et démocratique. Les quelques oppportunités de publication et d’expostion que j’ai eu la chance de saisir, en sont d’autres...
reframing...and making sense of the world
engaging in a meditation about what I see, feel and think in a particular moment.
offering a perspective on the world, an incentive to enjoy and an invitation to join the flow, the profound connection with a place.
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La force des photos de Sebastiao Salgado sur la famine et les migrations dans la région du Sahel publiées dans National Geographic vers la fin des années 80 est pour une large partie responsable de cette relation privilégiée à l’image photographique qui va se développer dès lors.
Au fil des années s’ajoutent d’autres repères d’inspiration: très tôt ce sont les travaux de Michael Kenna, Josef Koudelka et Mario Giacomelli avec intérêt grandissant pour les auteurs et leurs démarches… plus tard des photographes comme Pentti Sammallahti et Stephan Vanfleteren.
Ce sont avant tout les livres d’auteurs et les grandes expositions monographiques qui me fascinent, inspirent et perturbent.
…et mes propres photos?
La recherche d’un sentiment de connexion et de « résonance » avec un lieu ou une situation se développe en besoin primordial. Quand le « flow » s’opère, ce sont des moments privilégiés, des moments magiques… (un état d’âme secondaire que ma conjointe arrive d’ailleurs à détecter dès les premiers instants…;-)
L’image qui en découle éventuellement ne représente qu’une interprétation personnelle, une réalité subjective démunie de toute ambition d’objectivité. Force est de constater une certaine affinité pour les milieux naturels avec parfois des humains dans des postures d’interaction ou de contemplation avec cet élément naturel...
Je ne peux nier également un certain aspect obsessionnel qui parfois m’amène à ne pas quitter un lieu sans en avoir distillé au moins une image qui me semble représentative de ce lieu.
Le travail exclusivement en noir et blanc s’est imposé naturellement et je ne l’ai jamais remis en question. Le n/b m'apporte ce degré de simplification et d’abstraction qui permet de me détacher du réel et fournit les outils pour une réinterprétation personnelle
Autant que les grands maîtres ont su m’inspirer, j’ai le désir que mes propres images rencontrent un public; qu’ils aient une valeur et une signification pour autrui. Les plateformes en ligne, comme notamment WIPPLAY en sont un excellent moyen, accessible et démocratique. Les quelques oppportunités de publication et d’expostion que j’ai eu la chance de saisir, en sont d’autres...
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