Idée d'évolution, lors de la mise en vente de ses photos mettre en place une étape obligatoire où il faudrait cocher N&B ou Couleur idem pour Domaine : Archi ou graphisme ou ... et idem pour format. Ensuite liberté d'ajouter d'autres tags en rapport avec la photo
Vous êtes sur de ce que vous avancez ?
Qui dit droit dit cotisation agessa...
"Toute personne qui exerce, à titre indépendant, une activité de création dans le domaine de la
photographie et qui cède à un tiers les droits d’exploitation sur son oeuvre (droit de reproduction
ou droit de représentation), ou qui perçoit une rémunération au titre de la vente d’une oeuvre
d’art originale photographique, doit être obligatoirement assujettie aux cotisations d’assurances
sociales, à la contribution sociale généralisée et à la contribution pour le remboursement de la
dette sociale. Ces cotisations font l’objet d’un précompte sur la rémunération due à l’auteur. En
outre, le tiers qui rémunère le photographe, est personnellement tenu d’acquitter une contribution
calculée sur le montant brut global hors taxes de la rémunération versée.
"
http://www.agessa.org/
Qui dit droit dit cotisation agessa...
"Toute personne qui exerce, à titre indépendant, une activité de création dans le domaine de la
photographie et qui cède à un tiers les droits d’exploitation sur son oeuvre (droit de reproduction
ou droit de représentation), ou qui perçoit une rémunération au titre de la vente d’une oeuvre
d’art originale photographique, doit être obligatoirement assujettie aux cotisations d’assurances
sociales, à la contribution sociale généralisée et à la contribution pour le remboursement de la
dette sociale. Ces cotisations font l’objet d’un précompte sur la rémunération due à l’auteur. En
outre, le tiers qui rémunère le photographe, est personnellement tenu d’acquitter une contribution
calculée sur le montant brut global hors taxes de la rémunération versée.
"
http://www.agessa.org/
Albertus : je suis loin d'être complètement au point la dessus, et je parle en mon nom, mais j'ai longtemps été aux AGESSA (on peut percevoir des droits d'auteur pour du code source), mais j'ai commencé par être en micro-BNC, y compris pour les charges sociales (donc tout sur la déclaration d'impôt dans la case qui va bien), ce qui fonctionne tant qu'on est en dessous d'un certain seuil annuel qui dépend du type d'activité (32k la plupart du temps, mais un peu plus pour les avocats par exemple).
Au delà, il faut effectivement payer ses charges sociales via un organisme dédié (que ce soit les AGESSA, c'était mon cas, ou via le RSI, par exemple), c'est le 102 ter du Code Général des Impôts qui définit tout ça. Après, je pense qu'on peut donc vendre tout à fait légalement des photos sur internet en micro-BNC et en exonération de TVA (ça, c'est le 293B du CGI si je me souviens bien) tant qu'on est sous ces fameux seuils.
Pour la fin de ma petite histoire personnelle et même si je rappelle que ça concernait du code source et pas des photographies (mais à la lecture du code de la propriété intellectuelle, j'ai l'impression que les deux sont assimilables tant qu'il ne s'agit pas de photographies originales - donc numérotées - qui font encore l'objet d'autres textes spécifiques) : j'ai eu un contrôle fiscal et un contrôle URSSAF sur cette période et ce fonctionnement (micro-BNC to AGESSA) a donc été validé par à peu prêt tout le monde !
Tout ça est bien compliqué en tout cas. :-)
Au delà, il faut effectivement payer ses charges sociales via un organisme dédié (que ce soit les AGESSA, c'était mon cas, ou via le RSI, par exemple), c'est le 102 ter du Code Général des Impôts qui définit tout ça. Après, je pense qu'on peut donc vendre tout à fait légalement des photos sur internet en micro-BNC et en exonération de TVA (ça, c'est le 293B du CGI si je me souviens bien) tant qu'on est sous ces fameux seuils.
Pour la fin de ma petite histoire personnelle et même si je rappelle que ça concernait du code source et pas des photographies (mais à la lecture du code de la propriété intellectuelle, j'ai l'impression que les deux sont assimilables tant qu'il ne s'agit pas de photographies originales - donc numérotées - qui font encore l'objet d'autres textes spécifiques) : j'ai eu un contrôle fiscal et un contrôle URSSAF sur cette période et ce fonctionnement (micro-BNC to AGESSA) a donc été validé par à peu prêt tout le monde !
Tout ça est bien compliqué en tout cas. :-)
Concernant les droits d'auteur, il faut en effet ouvrir un précompte à l'AGESSA ou la maison des artistes (il est prévu que les deux fusionne)
Sur un ou deux tirage vendu par an, la déclaration aux impots peut suffire mais il faut que ça soit en effet vraiment ponctuel.
Concernant les tirage d'auteur, il doit normalement être limité à 30 exemplaires quelque soit la dimension car au delà c'est une œuvre commerciale.
tat2bu les 32K€ sont le seuil à ne pas dépasser en tant que micro BNC sinon tu passe côté URSAFF, avant les 32K€ c'est les AGESSA avec l’abattement fiscal qui va bien.
Pour ce qui est de la vente aux pro sur Wipplay, on peut déjà donner une définition au mot professionnel. Professionnel est lié à une personne ayant le droit de vendre une photo. Oui il faut avoir un SIRET pour être reconnu et déclaré comme auteur, d'où le statue de micro BNC par exemple.
Mais si j'ai bien compris, Wipplay ne peut pas faire de facture à l'auteur avec tout ce qui concerne la TVA et je le comprends bien. Toutefois, un auteur photographe ne facture pas avec la TVA car il ne peut pas la récupérer donc je dirai qu'un auteur peut vendre sur Wipplay même s'il dispose d'un SIRET. Mais bon tout ça est à véridier juridiquement... rien de simple dans cette démarche de WIpplay mais il y a la volonté alors Bravo :)
Sur un ou deux tirage vendu par an, la déclaration aux impots peut suffire mais il faut que ça soit en effet vraiment ponctuel.
Concernant les tirage d'auteur, il doit normalement être limité à 30 exemplaires quelque soit la dimension car au delà c'est une œuvre commerciale.
tat2bu les 32K€ sont le seuil à ne pas dépasser en tant que micro BNC sinon tu passe côté URSAFF, avant les 32K€ c'est les AGESSA avec l’abattement fiscal qui va bien.
Pour ce qui est de la vente aux pro sur Wipplay, on peut déjà donner une définition au mot professionnel. Professionnel est lié à une personne ayant le droit de vendre une photo. Oui il faut avoir un SIRET pour être reconnu et déclaré comme auteur, d'où le statue de micro BNC par exemple.
Mais si j'ai bien compris, Wipplay ne peut pas faire de facture à l'auteur avec tout ce qui concerne la TVA et je le comprends bien. Toutefois, un auteur photographe ne facture pas avec la TVA car il ne peut pas la récupérer donc je dirai qu'un auteur peut vendre sur Wipplay même s'il dispose d'un SIRET. Mais bon tout ça est à véridier juridiquement... rien de simple dans cette démarche de WIpplay mais il y a la volonté alors Bravo :)
Pour moi, l'obligation est de payer ses impôts et de s'acquitter de ses charges sociales, peu importe la manière. Donc, en dessous de 32K€ et surtout pour des revenus complémentaires, la déclaration aux impôts dans la case qui va me semble suffire (celle qui dit que c'est du micro BNC et que les charges sociales n'ont pas encore été payées dessus, je ne me souviens pas du numéro), mais on peu aussi se faire un précompte AGESSA ou passer par la Maison des Artistes, tant qu'on paie à la finale !
Le fisc à l'air d'accord puisque c'est la dessus que j'ai été contrôlé et je n'ai pas eu de soucis alors que je n'avais fais que du micro BNC / déclaration d'impôt simple cette année la et que j'étais pas loin des 32K€.
Pour ceux qui veulent se faire un avis par eux même, voici les textes de loi :
Pour la partie impôts et charges sociales : http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006069577&idArticle=LEGIARTI000006302641&dateTexte=&categorieLien=cid
Pour la TVA : http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006069577&idArticle=LEGIARTI000021645089
Après, tout ça est très compliqué, et je conseille à toute personne se lançant dans une activité en indépendant de prendre l'avis d'un comptable à minima, et d'un juriste ou d'un avocat dans l'idéal, ça peut éviter d'éventuelles mauvaises surprises, le droit français est assez complexe pour l'exercice d'une activité en indépendant.
Enjoy ! ;-)
Le fisc à l'air d'accord puisque c'est la dessus que j'ai été contrôlé et je n'ai pas eu de soucis alors que je n'avais fais que du micro BNC / déclaration d'impôt simple cette année la et que j'étais pas loin des 32K€.
Pour ceux qui veulent se faire un avis par eux même, voici les textes de loi :
Pour la partie impôts et charges sociales : http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006069577&idArticle=LEGIARTI000006302641&dateTexte=&categorieLien=cid
Pour la TVA : http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006069577&idArticle=LEGIARTI000021645089
Après, tout ça est très compliqué, et je conseille à toute personne se lançant dans une activité en indépendant de prendre l'avis d'un comptable à minima, et d'un juriste ou d'un avocat dans l'idéal, ça peut éviter d'éventuelles mauvaises surprises, le droit français est assez complexe pour l'exercice d'une activité en indépendant.
Enjoy ! ;-)
Il vous faut bien différencier l'auteur photographe (assujetti à l'AGESSA) et les autres, qu'ils soient artisans, auto-entrepreneurs (mais considérés comme artisans), photographes amateurs ou encore photo-journalistes et non assujetti pour le coup...
Pour faire simple :
L'auteur photographe est limité à de la photographie d'illustration (mode, presse, pub...) sur laquelle ils cèdent des droits de reproduction, soit à la photographie d’art par la vente de tirages d’art signés et numérotés. Exit la photographie dite "sociale" (mariage, photo scolaire...)
L’artisan photographe est le couteau Suisse de la profession. Véritable touche à tout, son statut lui permet toutes les opérations commerciales en rapport avec la photographie, de la vente de matériel photo à la photographie sociale où il est très présent en passant par le reportage en entreprise, etc.
Le photographe auto-entrepreneur n’est autre qu’un artisan photographe ayant opté pour un régime fiscal d’auto-entrepreneur. L’auto-entrepreneur est le statut idéal pour le démarrage d’une activité. Il permet à n’importe qui de se lancer tout en évitant de prendre des risques financiers importants. Il autorise aussi l’exercice de la photographie professionnelle de manière occasionnelle ou saisonnière ou encore en complément d’une autre activité (salariée le plus souvent). Pour rappel, un auto-entrepreneur cotise pour ses obligations fiscales et sociales seulement s’il facture une prestation ou une vente. L’auto-entrepreneur n’étant pas dans l’obligation d’établir son activité dans un local commercial, il réalise de ce fait de substantielles économies.
Le photojournaliste (ou photographe salarié), bien qu’étant un photographe professionnel à part entière, le photojournaliste est fortement bridé dans ses activités photographiques autres que celles consacrées à son (ses) employeur(s)… Il y a donc de fortes chances qu’il ne puissent vous céder des droits sur des images qui appartiennent de fait à son employeur. De même, s’il n’exerce pas sous un autre statut en parallèle de son activité de photojournaliste salarié, il ne pourra répondre ni à votre demande de reportage, ni à toute autre prestation.
Le photographe amateur :
Le talent d’un photographe ne se décrète pas dans des textes ou autres « recettes » juridiques. Aussi vous avez tout à fait le droit en tant qu’entrepreneur ou responsable de collectivité de « craquer » pour une belle photo qui soit l’œuvre d’un amateur. Si tel devait être le cas, deux possibilités s’offrent à vous : demander à l’auteur de cette photographie de vous céder des droits d’exploitation sur cette image pour les besoins de votre entreprise ou lui commander un tirage d’art signé et numéroté. Voilà à peu près tout ce que vous avez le droit de demander à un photographe amateur.
La cession des droits et/ou la vente d’un tirage d’art numéroté doit se finaliser par la délivrance d’une attestation fiscale rédigée par l’auteur et détaillée comme suit :
Coordonnées de l’auteur ;
Coordonnées de l’acquéreur ;
Description de la photographie ;
Description des droits cédés (usages et durée) ou description du tirage vendu (format et numérotation sous la forme x/30 ou x est un chiffre de 1 à 30) ;
Montant de la transaction ;
Date et signature de l’auteur.
Pour le reste, tout le reste, la loi interdit aux photographes amateurs de réaliser des prestations sur commande ou de réaliser des ventes régulières de tirages car le législateur considère qu’il y a soit travail non déclaré soit acte de commerce. Ces deux possibilités sont le fruit de tolérances très sévèrement appréciées par les tribunaux.
Quand à la position de Wipplay, il peut être considéré comme simple intermédiaire mettant en relation par le biais de leur site, des photographes désireux de vendre leurs clichés et des acheteurs... Le tout pour un échange purement commercial où il n'y pas de notion de cession de droits.
(source : http://www.joncour.fr/2013/03/18/formes-juridiques-photographe/)
Pour faire simple :
L'auteur photographe est limité à de la photographie d'illustration (mode, presse, pub...) sur laquelle ils cèdent des droits de reproduction, soit à la photographie d’art par la vente de tirages d’art signés et numérotés. Exit la photographie dite "sociale" (mariage, photo scolaire...)
L’artisan photographe est le couteau Suisse de la profession. Véritable touche à tout, son statut lui permet toutes les opérations commerciales en rapport avec la photographie, de la vente de matériel photo à la photographie sociale où il est très présent en passant par le reportage en entreprise, etc.
Le photographe auto-entrepreneur n’est autre qu’un artisan photographe ayant opté pour un régime fiscal d’auto-entrepreneur. L’auto-entrepreneur est le statut idéal pour le démarrage d’une activité. Il permet à n’importe qui de se lancer tout en évitant de prendre des risques financiers importants. Il autorise aussi l’exercice de la photographie professionnelle de manière occasionnelle ou saisonnière ou encore en complément d’une autre activité (salariée le plus souvent). Pour rappel, un auto-entrepreneur cotise pour ses obligations fiscales et sociales seulement s’il facture une prestation ou une vente. L’auto-entrepreneur n’étant pas dans l’obligation d’établir son activité dans un local commercial, il réalise de ce fait de substantielles économies.
Le photojournaliste (ou photographe salarié), bien qu’étant un photographe professionnel à part entière, le photojournaliste est fortement bridé dans ses activités photographiques autres que celles consacrées à son (ses) employeur(s)… Il y a donc de fortes chances qu’il ne puissent vous céder des droits sur des images qui appartiennent de fait à son employeur. De même, s’il n’exerce pas sous un autre statut en parallèle de son activité de photojournaliste salarié, il ne pourra répondre ni à votre demande de reportage, ni à toute autre prestation.
Le photographe amateur :
Le talent d’un photographe ne se décrète pas dans des textes ou autres « recettes » juridiques. Aussi vous avez tout à fait le droit en tant qu’entrepreneur ou responsable de collectivité de « craquer » pour une belle photo qui soit l’œuvre d’un amateur. Si tel devait être le cas, deux possibilités s’offrent à vous : demander à l’auteur de cette photographie de vous céder des droits d’exploitation sur cette image pour les besoins de votre entreprise ou lui commander un tirage d’art signé et numéroté. Voilà à peu près tout ce que vous avez le droit de demander à un photographe amateur.
La cession des droits et/ou la vente d’un tirage d’art numéroté doit se finaliser par la délivrance d’une attestation fiscale rédigée par l’auteur et détaillée comme suit :
Coordonnées de l’auteur ;
Coordonnées de l’acquéreur ;
Description de la photographie ;
Description des droits cédés (usages et durée) ou description du tirage vendu (format et numérotation sous la forme x/30 ou x est un chiffre de 1 à 30) ;
Montant de la transaction ;
Date et signature de l’auteur.
Pour le reste, tout le reste, la loi interdit aux photographes amateurs de réaliser des prestations sur commande ou de réaliser des ventes régulières de tirages car le législateur considère qu’il y a soit travail non déclaré soit acte de commerce. Ces deux possibilités sont le fruit de tolérances très sévèrement appréciées par les tribunaux.
Quand à la position de Wipplay, il peut être considéré comme simple intermédiaire mettant en relation par le biais de leur site, des photographes désireux de vendre leurs clichés et des acheteurs... Le tout pour un échange purement commercial où il n'y pas de notion de cession de droits.
(source : http://www.joncour.fr/2013/03/18/formes-juridiques-photographe/)
Merci !
Du coup wipplay favorise le travail illégal et interdit le travail légal, ça fait deux fois que je mets en garde wipplay la première ça a marché, là par contre ils n'ont pas l'air de bien percuter... Mais chacun fait fait fait ce qui wipplay play play...
merci Maboune pour toutes ces infos ...
Moi j'ai créée ma société en octobre 2013 en tant qu'auto-entrepreneur.
Je propose mes services sur les concours équestres, et du coup avec la société j'ai pu aussi me développer : photo de communion, portrait d'enfants et de famille, portrait de cavalier avec leur cheval dans la nature .... comme on dit "doucement mais surement" je me développe !
Je vois pas pourquoi les pro ne pourraient pas vendre leur photo sur wipplay ?
Moi j'ai créée ma société en octobre 2013 en tant qu'auto-entrepreneur.
Je propose mes services sur les concours équestres, et du coup avec la société j'ai pu aussi me développer : photo de communion, portrait d'enfants et de famille, portrait de cavalier avec leur cheval dans la nature .... comme on dit "doucement mais surement" je me développe !
Je vois pas pourquoi les pro ne pourraient pas vendre leur photo sur wipplay ?
Il est vrai qu'en regardant bien, on pourrait peut-être proposer à Wipplay de créer un système similaire à de nombreux sites commerciaux comme Ebay, PriceMinister, CDiscount... qui proposent à d'autres vendeurs de profiter de leur plateforme pour distribuer leurs produits en échange, j'imagine, d'une commission...
oui bonne idée Maboune... et pour la commission il me semble que wipplay parlait déjà de garder un pourcentage sur les ventes !
Albertus : il me semble que ce qui serait illégal, ça serait de rendre ce système accessible aux professionnels alors que celui ci n'est pour l'instant pas prêt pour leur fournir toutes les informations qui leur serait nécessaire pour tenir une comptabilité conforme aux exigences du fisc. :-)
Si Wipplay se positionne en temps que plateforme de mise en relation, rien n'empêcherait, à première vue, les professionnels de vendre leur travail. Après ce qui serait intéressant de savoir, c'est quelle est la renommée de Wipplay sur le web pour espérer vendre des clichés...
En voilà une bonne question Jimidji ! Personnellement, j'envisageais de devenir riche grâce à mon poisson
http://www.wipplay.com/fr_FR/user/sly/album/5031/photo/id/108735
Mais étonnement personne n'a encore mordu à l'hameçon °_°
http://www.wipplay.com/fr_FR/user/sly/album/5031/photo/id/108735
Mais étonnement personne n'a encore mordu à l'hameçon °_°
:-D