C'est dans des mots interdits que je cherche à me comprendre. Colère, Révolution, Vocabulaire, Peine, Haine, Aime et Emotion. Un bégaiement à la lueur d'une bougie je recherche qui cherche sentir, les soupirs de souffre en ce volcanique brasier qu'est ma conscience en cesse de soif d'apprendre à s'exprimer clairement. On dit des phrases chargées, qu'elles percent les murs légers de patience, lancées face aux douves asséchées de salives méprisantes, d'un château de savons éclaboussé de l'abeuglant adolescent aveuglé, d'un glossaire le faisant suer qu'il glissa directement dans le piège de sa propre langue, le Français vocabulaire oublié. Quelle mascarade lyrique pour justifier l'assassinat de l'intellect d'une nation. J'ai beau chercher, je découvre tout les jours des raison de penser à la pendaison. Je saucissonne le manque d'air frais, et le met a sécher pour faire comme tout le monde, si de courir après ma langue et l'art qu'il est de la parler, me fais jouer dans l'ombre, du boucher une valse de tirades tranchante m'amenant à manger, les langues coupées de ces mouton nourris de la béquet des pigeons grouillant le monde. J'inspire le brasier qui suppute mes grondés, en vérifie le digeste de leurs humbles légitimités, d'être à croitre en mes entrailles pour mieux réveiller, l'âme sommeillant en moi, celle d'être lettré. Qu'on extirpe à l'anglaise, la complexité d'une juste définition, pour une simplicité mâché d'absorption, je préfère prendre les pavés et partir en guerre contre le goudron. Je file la laine autant qu'on file le coton, filer du plastique, c'est nous prendre pour des cons, l'information je la veux pragmatique, utile, comme une leçon, l'art de la synthétique c'est la désinformation. Qu'il en coule de l'eau dans tout ses bruyant ruisseaux, mais c'est bien face à la mer que j'aime mettre les mains dans l'eau, c'est bien à la mer que de toute manière, retournent les ruisseaux.