On croit à l’amour, à l’amitié, à la famille. Puis on réalise parfois : que l’autre ne nous aime pas. Il aime ce qu’on lui renvoie — son reflet, son ego, son pouvoir. Dans ce type de relation, on est malmené, on est rejeté quand on se rebiffe , on doute , on culpabilise, on revient, trop souvent . Mais l’autre ne changera pas. Il ne verra jamais ses torts. Il fuit l’introspection. Il restera la victime, jamais le bourreau. Alors on coupe le tronc. Pas les branches, le tronc Parce qu’un arbre aux branches divergentes ne peut plus grandir harmonieusement. Le déséquilibre est en marche et le tronc se fissure en deux. On se libère. Pas par haine, mais pour se protéger et planter un graine saine ailleurs.