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"Comme des Sardines" est une recherche photographique sur la notion de promiscuité dans l'espace public. Qu'est-ce qui différencie un métro bondé d'une plage bondée ? D'une piscine publique trop peuplée d'un stade de foot rempli de supporters ? Est-ce lié au rythme de vie, au lieu, aux circonstances ? A des croyances, sentiments ou intérêts communs? Pourquoi telles situations d'empiètement sont plus acceptables que d'autres ? "Comme des Sardines" est une recherche photographique sur la notion de promiscuité dans l'espace public. Qu'est-ce qui différencie un métro bondé d'une plage bondée ? D'une piscine publique trop peuplée d'un stade de foot rempli de supporters ? Est-ce lié au rythme de vie, au lieu, aux circonstances ? A des croyances, sentiments ou intérêts communs? Pourquoi telles situations d'empiètement sont plus acceptables que d'autres ? C'est de ces interrogations qu'est née l'envie d'approfondir notre rapport à l'autre, à l'inconnu et plus spécifiquement aux corps. Bruxelles regorge, comme de nombreuses capitales européennes, d'exemples de promiscuité vécue par ses habitants, emmenés quotidiennement dans le va-et-vient urbain. La promiscuité, dynamique de la vie en commun contrariant, voire répugnant, amène les corps étrangers à se côtoyer et s »inscrit dans une dialectique de la tolérance dans laquelle l'homme cherche à tout prix à retrouver sa bulle. De là, découle de mes observations le constat, au sein de cette spatialité nouée, d'un malaise cristallisant individualisme et solitude des êtres que nous sommes.Sous un prisme poétique et chorégraphique, il est question dans ce travail photographique de frontières séparant désintérêt et désir, individualisme et altruisme, privé et public, caché et vu, intimité et étrangeté ou encore, conformisme et excentricité. Comment transformer l'espace de promiscuité qui dérange, étouffe et dans lequel chacun veut la place de l'autre en un espace de proximité, laissant place à la reconnaissance de l'autre, au rapprochement des corps et où la place de chacun est garantie. C'est de ces interrogations qu'est née l'envie d'approfondir notre rapport à l'autre, à l'inconnu et plus spécifiquement aux corps. Bruxelles regorge, comme de nombreuses capitales européennes, d'exemples de promiscuité vécue par ses habitants, emmenés quotidiennement dans le va-et-vient urbain. La promiscuité, dynamique de la vie en commun contrariant, voire répugnant, amène les corps étrangers à se côtoyer et s »inscrit dans une dialectique de la tolérance dans laquelle l'homme cherche à tout prix à retrouver sa bulle. De là, découle de mes observations le constat, au sein de cette spatialité nouée, d'un malaise cristallisant individualisme et solitude des êtres que nous sommes.Sous un prisme poétique et chorégraphique, il est question dans ce travail photographique de frontières séparant désintérêt et désir, individualisme et altruisme, privé et public, caché et vu, intimité et étrangeté ou encore, conformisme et excentricité. Comment transformer l'espace de promiscuité qui dérange, étouffe et dans lequel chacun veut la place de l'autre en un espace de proximité, laissant place à la reconnaissance de l'autre, au rapprochement des corps et où la place de chacun est garantie.