« Endorphine » par Frédéric Stucin et Didier Daeninckx aux éditions Filigranes

par Wipplay

« Endorphine »
par Frédéric Stucin et Didier Daeninckx
aux éditions Filigranes
60 page
27€

La crise sanitaire a complètement chamboulé nos habitudes sportives. Salles de sport, piscines, et tout autre sport collectif ont été interdits ou très limités ces derniers mois. C’est ainsi que le photographe Frédéric Stucin a imaginé « Endorphine ». Un livre qui questionne ce que serait le sport s’il était clandestin. Si, à l’inverse de cette activité positive, bonne pour la santé, le moral, la cohésion sociale, il devenait illicite, comme il l’est en cette période où tout est inversé ? Il y aurait l’inquiétude et le danger que la clandestinité, mais aussi une autre forme de jouissance, celle du plaisir dérobé. Un véritable aux sports collectifs, aux sports de salle, aux sports de combat et à tous les sports du monde !

Endorphine © Frédéric Stucin
Endorphine © Frédéric Stucin

Que serait le sport s’il était clandestin ? 

A Vichy, début mars 2019, dans le cadre du Festival Portrait(s), Frédéric Stucin photographie des sportifs. C’est le thème de sa résidence, il a pris rendez-vous en avance, depuis Paris, avec des volleyeuses, des basketteurs, des nageurs… Le Coronavirus arrive avant lui. Plane le spectre du confinement prochain. On ferme les gymnases. On annule les matchs. On interdit les regroupements. Alors, le photographe imagine : que serait le sport s’il était clandestin ? Telle une activité subversive, cachée, qui offrirait ce frisson de l’interdit.
Inspiré par ces images, l’écrivain Didier Daeninckx, auteur de romans consacrés par le public et la critique, a inventé une nouvelle, concentré de suspense et de joyeuse anticipation fantastique.

Endorphine © Frédéric Stucin
Endorphine © Frédéric Stucin

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