l'absolution du sacerdoce

Geoffrey_Ramaud

l'absolution du sacerdoce

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  • Geoffrey_Ramaud

    Je suis le seul responsable de mon malheur, et m'excuse à tout ceux que je gardais en responsable d'un présent que je n'assumais pas, être la source de mon incapacité à faire face à ce qui ne dépend que de moi pour être heureux, d'avoir pris confort dans l'habitude de croire, en être indigne et illégitime, au point de fuir ceux et ce que réellement, j'aime. Je ne cherche à convaincre personne, ni même moi même par cette annonce, mais tend à partager ma certitude d'etre imparfait, de reconnaitre de la perfection, le langage des souffreteux face à l'incontrôlable, le fonctionnement d'une protection face à la preuve d'exister, d'accepter ressentir de la vie par la manifestation de ce quelle est, un temps à vivre, et la peur de sa fin. Pardon à ceux à qui je laisse en image, celle que je ne vois pas de moi, par l'aveuglement de ma volonté à vouloir comprendre comment me proteger de ce que je ne sais gérer, ma sincérité, d'avoir compri d'elle être un poids et un problème responsable de tout les cataclysmes, jusqu'à l'effacer de mon comportement, pour pouvoir profiter des autres et ne pas les voir disparaitre. Je restais dans une torture sans fin de croire être illégitime à pouvoir être compris et apprécié à ma juste valeur, d'être persuadé être insuffisant, jusqu'à masquer ma sensibilité de ne savoir retenir ceux et ce qui me tiennent à coeur, sans celle-ci. Impuissant, est alors la valeur que je me donnais, à refuser croire pouvoir être digne de reconnaitre, exister à ceux me retenant, m'enlaçant, m'embrassant, m'aimant. J'affrontais seul la vie, en refusant être en lien avec ceux souhaitant la partager avec moi, de ne voir du lien, qu'un sacerdoce justifiant mon dévouement le plus total, à l'oubli de moi même, ou la destruction de l'autre. Je me sacrifiais des relations, et surtout de celles qui me faisait réellement ressentir la vie, par la croyance en mon incapacité d'être aux yeux de l'autre, ce qu'il attends de moi, de ne comprendre de sa réaction, qu'un rappel à mon illégitimité, que d'une réelle preuve d'exister à ses yeux et son coeur pour m'accorder ce qu'il à de plus précieux en s'arrêtant pour moi, son temps et son amour. Je fuyais l'opportunité de pouvoir m'exprimer sincèrement de ne savoir réellement ce qu'est d'être écouté et compris, d'avoir été injustement interprété et traduit, inconsidéré et inexistant, sans comprendre de ma volonté s'être dévouée à protéger ce qu'il m'est le plus cher pour le fuir en sa présence, d'être convaincu, être indigne de sa valeur. J'étais enfermé par ma propre croyance ma propre foi, de ne comprendre d'elle n'être qu'une illégitimité, un supplice à abréger, un courant d'air dont on s'enferme et se protège tant elle manifeste chez l'autre, toute les raisons d'être bref et distant, de ne montrer de moi que l'inconfort que l'autre m'apporte à vouloir se rapprocher. Je parlais le langage de la fuite, tout en gesticulant celui de l'attention, pris entre deux feux, celui du sincère intérêt et celui de la respectueuse politesse, je ne trouvais ma place qu'à me supprimer et mourir en silence de ce lien qui pourtant, ne me souhaites que la meilleure intention. Mon réconfort était alors, de bruler par le feu de l'injustice qui m'animait, les émotion sincères que je recevais de m'interdire l'être, d'en tirer la leçon d'être faux, quand les abysses faisaient jaillir en moi, une réel raison d'être vrai, sincère, et digne à défendre et protéger par ma passion, l'amour que jugeais dès sa naissance, d'irresponsable. Pardon. Pardon alors à tout ceux que j'aime, de ne pas arriver à me pardonner détruire ce qu'il me manque, de mettre tant de temps à le retrouver pour le voir partir, en vous maintenant à distance de ma sensibilité à être responsable de ce qu'il peux vous arriver, au point de disparaitre, de ne savoir comment vous comprendre qu'au travers de ce que je m'efforce à travailler, mon propre oubli. j'ai enterré au plus profond de moi ce que je fixe dans le vide, sans bouger, hors du monde, pour ne plus reconnaitre ce qui vie autour de moi, d'être dans le néant. A prévoir l'avenir des choses par l'injuste leçon apprise d'une situation que je me suis convaincu être responsable, d'en être la victime. A chercher ma responsabilité dans ce qui ne dépend pas de moi, jusqu'à perdre mes esprits de ressentir le désir d'expliquer les raisons de ma suffisance, pour me sentir connecté à ce qui est brisé, de ressentir intensément l'important desespoir du sans retour, à la traduction de ce que je suis par l'expression de ce que je reconnais, une vérité qui me justifie. Parfois, on crée des souvenirs pour en effacer d'autres. Je tentais de m'apaiser par l'intermédiaire d'une persuasion, me convaincre être le responsable, pour accepter pouvoir porter tout ce qui ne me revient pas, comme étant un but nécessaire à accepter pour protéger les autre de savoir pouvoir " tenir le coup". Une incrimination personnelle et automatique au désir profond de dénouer rapidement la paix de ce qui définissait la charge d'une faute, une erreur, un préjudice, d'un manque ou d'une disparition, que je me devait immédiatement de porter, comme une révélation, "c'est à moi que cela revient" car "cela ne peut être que moi". L'approbation immédiate d'un sentiment de culpabilité à reconnaitre pouvoir être l'origine d'une décision, d'un raisonnement, d'un sentiment, d'une émotion. Jusqu'accepter pouvoir être l'origine de toute les responsabilités possible des émotions, des réactions, des instincts et des réflexes, que j'évitais à reconnaitre, chercher trouver. Ce que l'on detecte de plus important se voit aux actions que l'on entreprend à le voir. S'arrêter d'une marche convaincue par l'appui d'être sans valeur, pour la curiosité d'être ou non, la sensation d'un courant froid, ou l'impulsion d'un élan au rappel de ce que l'on peut être pour ce qu'il se trouve juste à coté de soi. Suis-je alors totalement responsable de moi même, quand ce qui embase ma perception est un langage basique d'émotions et de réflexes, à l'appréciation de situations originelles à certaines décisions instinctives ? Les marques d'une évolution intimement liée à la synthèse de ce qui nous construit, les langages et dialectes qu'apprécient nos sens et que traduit notre perception, par l'expérience de la vie pour acquérir une stabilité soumise à un langage se structurant de valeurs que l'on ne choisi de penser, tel le maternalisme ou le matérialisme.. Tenir et retenir l'espoir d'un retour, par la normalité d'une vie s'inspirant d'un équilibre s'acceptant par l'exemple d'une protection s'inscrivant par ne plus être dans le manque. Au risque d'entamer une nouvelle chute dans le doute par l'appel d'un éveil sur soi plus profond, certaines ouvertures se nourrissent de vérités que l'on débusque en apprenant à s'ouvrir à la différence, pour ouvrir le coeur de ce qui anime la volonté de ritualiser son comportement dans la certitude des habitudes, pour découvrir de l'invisible de ses mouvements, la responsabilité de faire rentrer le pardon en soi. Les chemins sont équivalents, n'y passe que le temps. L'espoir est un temps inconditionnel et son don, même indésiré, reste la plus grande preuve d'amour, d'être la convention d'une norme pleine de sens, la réalité d'un soi débarrassé de sa peur d'être à l'autre ce qui lui manque, à la reconnexion d'un cercle ne se formant qu'à leur fusion. Que donc croire, si par peur de vous décevoir de n'être ce qu'il vous faut, d'une insuffisance à vous apporter ce que je ne sais encore comprendre de vous, et de vous donner toute les raisons de vivre ce qui m'a amené à agir comme cela avec vous, n'est que l'apparition d'une recherche des responsables, quand je suis amené à croiser la douleur de l'impardonnable, de l'irresponsabilité de mon amour pour vous ?

 

Métadonnées

Saintes, Charente-Maritime, France

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