J'assistais à la course du monde avec un ticket d'entrée pour le regarder. Ce que je ne savais pas, c'est que je pouvais y participer. Un spectacle haut en couleurs et personnages, des lumières annonciatrices d'atmosphères et des musiques faites pour assouplir les nerfs, j'était quelques peu aveuglé de cette bulle du temps, qui se vit, que d'être spectateur, à voir la fin des temps. Cette bulle, on choisi d'y rentrer, ou bien, on est pas conscient d'en faire déjà parti. On recherche sans cesse l'art de dessiner les trait de ce qui nous plairait le mieux d'arborer, que de regarder ceux qui meublent notre reflet. On à le choix de s'aveugler de la vitesse des rencontres, qui entoureront notre pivot d'un spectacle mouvant, à nos yeux seulement. Car en dehors de ce manège, les saisons passent, et le temps avance, alors que l'on reste sur place, meublant cette danse, d'être la toupie d'un espace, un spectacle qui n'a de sens à la gloire de l'ignorance. Enfermé dans le parcours des glaces, ce sont les reflets qui tentes, et quand le front fait face, ce sont les tempes qui lancent, d'un rythme sanguin faisant place, d'une douleur accablante, celle de prendre sans fin la raisonnance de notre absence. Un mal de tête qui glace, la chaleur persistante, des passions voraces, qui sont toute les chances, d'autres qu'a soi d'être, soi même, sa propre chance, une solution efficace, à comprendre pourquoi l'on danse. Je regarde à présent, danser les animaux, enmaté du temps, d'être sur un pivot, s'acclimaté de croire qu'ils sont dans une mouvance, aveuglé d'avoir, peut être pris conscience. Figé d'un temps à croire, emprit d'une confiance, avoir cru peut être pouvoir, fuir sa propre apparence. On n'entendra que la sirène, criant la fin de la séance, d'un grand park thême basé sur l'assurance, d'une autre foire qui mène, les vanités à la danse, celle de croire qu'elles servent à nous trouver un sens. J'accélère alors, le regard sur moi même, et comprend en puissance, l'aveuglement de moi même, l'enracinement de mon absence. J'explose alors les regles, de croire que je n'ai qu'un sens, celui de tourner sur moi même, à ne pas voir ma chance, et vois désormais le reigne, de ceux de la maintenance, à huiler les rouages, de ce qui n'a de sens, de ceux qui n'ont de sens. Apprendre la perte qu'il est, d'integrer cette danse, c'est déstabiliser le tempos de ceux deja en danse, laissant le choix de sadapter ou de rester dans la danse, j'ai trouver ma chance dans mon ticket, à regarder la séance, comprendre qu'elle à une fin était, au départ, dénué de sens, car je n'y voyais que pour moi, la totalité des sens, justifiant jusqu'en moi la parfaite insouciance, de comprendre une colère qui contre moi n'avait pas de sens, une colère qui face à moi à pris tout son sens. Je regarde à présent danser, les aveuglés de leurs conscience, à chercher une langue pour calmer, la raison de leurs différences, et ainsi pouvoir apporter, en moi profond un sens, de comprendre que courir après, cela n'a aucun sens. J'aurais guéri en moi, la violence de mon enfance, à sortir du tourniquet de voir, mon monde désaxé de sens, mon monde qui me regardait encore à mon insu, dans une grande confiance, de voir que je tourner, sur moi même, à la recherche d'un sens.