Mêlons nous de nos affaires, oublions qu'on fait parti de celle des autres, fuyons ce qui nous rappelle un lien avec eux pour s'enterrer dans le notre. Laissons les se débrouiller, de ce que l'on ne comprend pas d'eux, de ce qui nous prendrait trop de temps à expliquer, à s'entacher défendre ce que l'on se refuse d'avouer, d'en avoir perdu le langage pour le comprendre. Gardons nos distances, de prendre un avis à pouvoir en être coupable, d'être à soi un choix de préférence que d'une révérence à la volonté qui le soulève. Dévouons nous, à nous protéger de que ce qui nous en rappelle l'inexplicable, l'injustifiable, l'impardonnable, et la raison de ce que nous somme désormais. Détournons le regard, sur le reflet que sommes face à l'intention sincère de revendiquer, sa propre légitimité à clamer avec force, ce que nous avons oublié de nous même, en être tout autant habité derrière nos écorces. Divertissons nous, du chemin qu'ils opèrent à rechercher dans leurs tourments, la lumière de ce qui les habites, d'être trop préoccupé par ce qu'il nous manque pour s'en protéger jusqu'à l'ignorer. Rappelons leurs, que ce qu'ils recherchent ne peut définir la raison de tout ce que nous avons, d'être ce qu'il y a de plus instable à l'équilibre de nos construction, suffisantes et comparables, jusqu'à s'autoriser interdire son savoir, et mieux vivre dans l'avenir de notre ignorance. Etouffons ce qu'ils ressentent, pour les lier à ce que nous sommes, encerclé dans l'absence, réunis dans la peine, dépendant de la peur, enlimité d'une liberté évidé de l'essence qui nous pousse au silence de ne savoir l'exprimer. Ecrasons les de nos habitudes, pour les empêcher avoir un temps sans valeur à nos yeux, prévoyons l'exceptionnel pour s'en assurer l'étreinte, en éteignant la surprise de le découvrir ensemble. Achevons les, à les raisonner de notre normalité fondé de nos souffrances et nos abandons, pour les enlever de leurs tourments à rechercher ce qu'il leurs à été enlevé, et les élever dans l'abandon et la résignation de ce que nous avons oublié. Parlons leurs, qu'au travers de ce que nous savons nous, d'avoir oublier comment demander, sans avoir à reconnaitre, parler un langage de fou. Humanisons l'honneur d'être coupable, pour en couper l'évidence d'être mortel. Faisons leurs croire ce qui nous est préférable, en un monde n'étant pas pour nous, Aimons les sur l'hôtel de la confiance que l'on à même pas de nous, et tuons ce qu'ils feront naitre d'eux même, à croire pouvoir être au delà de ce que nous sommes, tout.