à bas le réel
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  • Geoffrey_Ramaud

    La vue sur le temps n'à d'orientation que sur la volonté qui l'anime. ------ https://www.youtube.com/watch?v=z7rxl5KsPjs ------- Je vais m'adresser à toi. Toi qui est dans ce monde, dans le tien. Celui ou tes codes et tes repères t'amènent à voir ce que tu veux, ce qu'il t'est normal et habituel, en acceptant ce qui te limite, de dire " c'est comme ça". Sache une chose, tu ne choisiras pas. Tu ne choisiras pas de recevoir les visions ou le temps qui te sera partagé, l'attention ou les sentiments que te seront donnés, les larmes et les questions qui te seront attribués. Tu ne choisiras pas de ne pas chercher à comprendre, de ne pas être entendu ou écouté, de la même importance, de la même attention, de la même profondeur, que celle tu tendras à attendre de ceux à qui tu parleras, de reconnaitre de toi un passé, un vécu, pour que tombent tes dires dans l'interprétation, dans le déjà-vu. Tu percevras, ce dont je te parle. Parfois tu t'oublieras pour des besoins que tu ne sauras dire, de ne savoir les faire entendre. Sache une deuxième chose, tes exemples forgeront ton caractère et tes arguments. Ils trahiront par ce que tu diras, la confiance que tu tiendras, à remarquer des mots que tu comprendras, le langage qui t'aura été transmis, la base fondatrice de ce que tu percevras, des argumentation qui te feront réagir, d'être toi même sous l'influence d'un rôle, qui t'aura été donné. Tu es, et le restera jusqu'à ce que tu le choisisse, en communion avec les raisons qui te feront traduire les mouvements chargés de valeurs, de signaux et d'informations, jusqu'à ce que tu en inverse les sens, à la seul force d'en définir, le pourquoi. " tu vois de quoi je parle ? " Tu ne remarqueras, que ce que tu connais. Ton passé sera, indépendant de toi, d'être la leçon de ta vie. Il liera ton comportement, ton accent, ton rire, ta ponctuation, ta mimique, tes gouts, jusque ta volonté, par la preuve d'être ses traumas, ses marques, de ses souvenirs. Tu ne feras, que reconnaitre. Tu ne sauras pas écouter, jusqu'à ce que tu enlève le cout pour te concentrer. Tu ne seras pas attentif, de ne pas être dévoué à écouter l'affection, la prévenance, pour tendre à remarquer la sincérité dans l'attention. Tu n'entendras rien, de n'exposer que ce que tu reconnaitras, à ne comprendre que ce que tu sais, et ne pas tendre en toi, la valeur du lien que tu limites, à le reconnaitre " être comme ça". Ta remarque, ne sera qu'un indicateur, à la correspondance d'un écho. Un outil trouvant dans l'analogie, le fonctionnement d'une lumière reflétant une connaissance dissimulée. Ton évidence, sera la référence de ton adaptation à la vulgarité du langage qui t'embase, se reposant sur la confiance des conventions pour n'être qu'une similarité commune. Ta prévision, sera la vigilance de ton interprétation, de ne remarquer que l'expérience de ta propre chute, ton vécu. Ton choix, ne se démontrera qu'au pouvoir de ta seule volonté. Tu refuseras, l'évidence de son point de vue, jusqu'à défendre l'inconfort de ta certitude à le supporter. Tu transmettras, la modulation de tes avis par ta volonté à rester d'une vocation. Tu démontreras, que la confiance que tu privilégieras ne s'accorde qu'à l'entretiens des liens exprimant la manifestation de tes valeurs, ne s'attribuant à ton image que par la signification de ton accessibilité, ton identité. Tu communiqueras, ta volonté par ton pouvoir de faire confiance. Sereinement, tu définiras l'évidence d'une communion en communiquant la confiance d'une relation, te protégeant de l'exclusivité en structurant ta perception d'une architecture entendant la conviction, comme la foi en un mouvement valorisant l'échange dans l'émotivité des relations, externes à ce que tu es, l'expression de toi même. Tu constateras, que ta normalité n'est pas la profondeur d'un standard sciemment compris de tous, de véhiculer l'apprentissage des émotions comme ta confiance en la valeur de leurs langage. Tu manifesteras, l'experience qui les valorises dans l'existence de leurs vocabulaire, en utilisant des mots justifiants tes sentiments par les liens que tu ne sauras définir que par l'explication que tu ne sauras offrir de toi même, d'être juste "comme ça" Tu décriras, la représentation de tes semblables comme l'expérience de ta révélation, le sujet de toi même. Tu préciseras, la marque du plus grand nombre, comme la distinction du commun, de t'approprier l'effort comme la leçon ponctuant l'argument d'un savoir indiscutable et évident, recherchant la confiance dans l'explication. Tu distingueras, l'équivalence des conventions de gager être le repère d'explication liant le savoir définissant le commun, s'appuyer sur l'incapacité d'en comprendre la valeur Tu reconnaitras, ne pouvoir agir, en reconnaissant ne pas savoir distinguer ce que tu sais être, d'échanger ce que tu sais par l'opération d'un confiance volontaire à distinguer ce que tu reconnaitras vouloir reconnaitre ce que tu sais être de valeur. Tu chercheras, à faire entendre ce que tu dis comme le combat de dire, cherchant à dire ce que tu sauras sûr être nul, pour t'assurer chercher à comprendre que ce que tu dit ne s'arrête pas à la profondeur de ce que l'on comprend de toi, entendant ce qu'il sera entendu pour chercher à t'assurer savoir comprendre ce qui est profondément compris comme nul, pour t'assurer tendre à faire entendre ton combat. Tu comprendras, la valeur de tes erreurs dans la volonté d'en défendre le sens à comprendre le langage de ta parole, de ne parler la même langue, à ne pas entendre la même valeur du langage que l'on se dévoue à défendre pour se comprendre. Tu considéreras, la mécanique de ta connaissance comme la vigilance de l'évidence, à te protéger des discours par ta connaissance d'écouter attentivement le devoir de l'erreur en distinguant le rôle de son dévouement. Tu convaincras, l'évidence de devoir distinguer la réalité de l'entendement, à reconnaitre de toi l'évidence de na pas être compris pour la structurer des erreurs tel que le devoir de la conviction structurant l'erreur de la réalité par la reconnaissance nommé par l'interprétation. Tu nommeras, les corrections paraissant évidentes d'accorder l'occasion d'échanger sur l'erreur de ce qui structure ses propos, que corriger l'apparence, en nommant ce qui est évident d'accorder, que savoir de l'erreur être ce qui se reconnait évidement, pertinent dans l'apparence, qu'à l'occasion d'échanger sur ce que tu sais, et corriger ainsi ce qui la structure, la confiance. Elle se reconnais par la correction de paraitre évidement l'occasion de corriger ce qui la nomme, pour s'accorder la reconnaissance d'échanger les propos de sa pertinence. Tu te jugeras, d'avoir distinguer tel que l'évidence, l'erreur de pouvoir toi aussi, te juger tel que tu es, d'évidement être ce que tu distingue de toi, l'évidence d'une erreur. Tu dénieras, abandonner l'indivisible traumatisme de ce qui te marquera initialement, le temps passé, responsable des perceptions de toi même. L'abstraction d'un présent à pour conséquence de pouvoir autoriser l'imprévisible et l'irrationnel. Le percevoir annonce l'autorité de l'inexplicable, et te sera trop. Poursuivre en connaissance de ce savoir irréel te sera évidement trop compliqué, abandonner sera la marque de ta responsabilité, denier, celle de la conséquence de ton savoir traumatique, t'autorisant à abandonner par la marque de ton passé, l'inexplicable indivisible par sa fatalité, et poursuivre ton avancée, dans le déni de ce que t'initialement tu t'autorise. Tu redefiniras, ton erreur ne pas en être une, par la prévision que tu pourras percevoir à reconnaitre l'intégralité de ce que la confiance peut t'être, dans son pouvoir que ses événements, en polarisant l'évidence de ton horizon par le pouvoir de prévoir le doute, et redéfinir, ce qu'elle peut être, le socle de toi même. Tu te permettras, de vouloir trouver en toi, la valeur de ta confiance. Tu exploreras, l'illusion convenue par ta raison des sujets recouverts par l'infériorité, pour découvrir la profondeur de ta vision, en sondant l'argumentation reliant l'obscurité à la volonté d'éclaircir les questions dominant les vecteurs alimentant la futilité. Tu percevras, les valeurs induisant ton présent n'être que la réception des information de tes sens, que tu reconnaitras, par la corrélation de ton passé, à l'importance des gestes et la prononciation spécifique de l'expression, par le comportement et la tonalité des mots se liant à la volonté de comprendre de toi, la considération d'un langage au chant lexical composé de la confiance, de ne savoir donner d'autre structure spécifique à la volonté de te connaitre, qu'un lien dépendant de la confiance à considérer que l'hystérie, les injures et la colère, ne sont que la certitude d'une volonté de définir ce qui ne sais être, qu'une certitude, une invisible dépendance. Tu affronteras, le rôle de ton chemin, orienté par l'évidence et la normalité qui te fonde inconsciemment, jusqu'à te guider vers l'avenir bouclé de tes habitudes, t'écartant par le confort, à l'effroi de la différence qui refléteras ta culpabilité, en désolidarisant ton langage de ce qui définissait tes nécessités, jusqu'à te sentir coupable d'être incompréhensible d'être devenu, différent. Tu ne sera plus comme eux, tu sera malade, car le fondement de cette question tenait dans le voile de ton passé. Tel un virus, il agissait sur ta perception de l'avenir, par l'anticipation des évidences, alimentant ta vigilance des déceptions, à l'étouffante dévotion de prévoir tout les besoins nécessaire pour le maintenir en fonction, et t'écarter ainsi d'animer les passions incohérentes de l'alternatif, en transmettant par la résilience de l'espoir, la confusion de l'empreinte de ses taches, jusqu'à reconnaitre de toi même, être le propre sujet de ton oubli, à te vacciner contre toi même, pour devenir "normal". Parfois, on oublie qui l'on est, pour les besoin que l'on ne sais dire. "C'est comme ça". Alors à toi l'orphelin de l'amour que je ne rencontrerais pas, il faudra accepter t'oublier dans ce qu'il t'accueil. Te résigner à tourner la tête et marcher droit, à refuser te rappeler être ce que tu es au fond de toi, une petite chose, égale à toi même. Tu te perdras, par le gout amer de ton adoption et sa recette, dans les entraves obligatoires d'un monde imaginaire, froid et insensible, ou règnent en maitre les enfants perdus d'un jeu nommé société. Ses règles, forgent les convictions par l'isolation des differences et la législation des évidences, jusqu'au cheminement d'une lecture de toi-même, à en être inadapté. Tu te compareras au reste par la définition que tu accepteras lentement de toi. Dictée silencieusement des autres à t'assourdire de tes besoins, elle révèlera ton incompréhension jusqu'écraser le propre souvenir de toi même, masqué par la résignation, étouffé par la lâcheté, vaincu par le mutisme des sincères volonté t'étant adressées. Cette défaite, c'est la tienne. Celle du rêve s'estompant à réaliser parler le vocabulaire d'un monde rentrant en collision, avec une réalité le confrontant à la vision de l'évidence. Celle ou tes idéaux, tes ambitions et tes sentiments, sont imposés au silence de t'appartenir, jusqu'à t'enfermer pour te maitriser, toi, d'accepter n'être personne, qu'être quelqu'un, toi, l'incompris. Tu te nourriras de l'insipide jusqu'à te sécuriser de la faim, et retrouveras le gout sans te demander si c'est réellement, le tien. La recette de l'avenir, se forge avec le passé et les valeurs perçues, la déception retire les liens et attaches jusqu'au dégout, leurs visions, perdues. Tu accepteras de l'évidence sa réalité fataliste, ou la déception désenvoutera tes charmes en concrétisant par l'impuissance, et la comparaison aux autres, la vision des souvenirs te définissants, à l'anéantissement. Tu t'effondreras, par l'inconscience des dépendances indéfinies qui te structurent, s'imposant à toi comme valeurs insupportables, étouffant ton environnement par leurs volonté de se nourrir de ce qui compose le maintien de leurs accueil, le respect. Ta valeur sera nulle. Tu te protégera de ton propre désir d'être irrecevable, fracturé par la confiance en l'histoire qui le prouve, t'enfermant dans un espace infranchissable, la mécanique de l'évidence, pour conserver ce qui t'embase, ta fonction volontaire. Tel un biais, tu sera utilisé. Alimenté par la peur, mis sous tes yeux par l'évidence t'en rappelant ton passé, tes besoin se tourneront rapidement vers la nécessité de construire. Comme une raison, elle se fera sentir en toi comme celle de ne plus te voir, comme une raison. Dépassé par des propos nécessitant ce qu'il te te fera défaut pour les comprendre, les pressions que tu t'infligeras, ne seront que celles ayant le cout de tes dépendances, d'en avoir oublié la valeur de ton temps. La conscience du temps qui passe, te sera visible par l'environnement qui te le fera découvrir, au moment de réaliser t'être "réveillé" de tes convictions. Tu seras désolé, d'entreprendre par l'oubli des besoins primaires de ton existence, à devoir correspondre à la liste d'objectifs indiquée par ta vigilance. Tu préviendras, en nourrissant par l'existence de ton trauma, le déconditionnement d'une réalité perçue par l'indépendance des volontés t'oubliant dans l'échec, jusqu'au tourments de la déception, la perte du souvenir de ta propre valeur dans l'anticipation de vivre l'existence de sa réalité. La "prèdécepetion", te réservera à ce qui t'aura été enlevé prématurément, tu ne partageras plus d'intimité, d'en avoir défini la somme d'un mérite, exclusif. Le voile de ton passé sera le message que tu enverras au présent. Tu défendras avec l'animosité d'un comportement inhumain, l'ignorance d'un profond attachement à ce qui te sécuriseras du reflet de ce que tu auras subis, dans la dépendance à denier dévoiler tes fêlures à ceux t'accompagnant, t'évitant de te confronter à la possibilité, à l'espoir, d'avancer sereinement dans la sincérité de leurs dévotions, de t'être oublié dans l'adaptation à nourrir ce qui t'en exempt. Tu te sera fourvoyé, dans la vocation de prévoir les équations, de les avoir laissé sans réponses, t'être jugé, trop grandes pour toi. Tu tourneras le dos, par l'acceptation de masquer ta propre image en te jugeant incapable d'exprimer tes craintes et tes peurs, par la conscience des probabilités à revivre ces situations invincibles, en te protégeant toi même de ta force et ton courage à les affronter, par le silence des explications futures que tu n'auras de toi même, de n'être que ce que tu es, "comme ça", ressassant l'abus des soucieux d'entendre de leurs bienveillance, la volonté d'un viol en profondeur de ton amour propre. Tu sécuriseras ce qui seras le moins émotif, que le confort d'être compris, pour rassurer le monde d'être assuré d'être rassurant, tout en étant assuré d'être assurable. Tu libéreras par la seule liberté que tu auras, celle de la rendre, de n'être que ce que tu es, le même prisonnier de l'ignorance de toi même. Alors pour qui te prends tu ? L'orphelin de l'amour ou l'enfant de la peur ? La seule difficulté de vivre, c'est d'accepter sa réalité, celle de laisser celle que l'on souhaite, à ceux que l'on abandonnes de ne plus vouloir la vivre, confiant de l'autre, pouvoir nous pardonner d'être explicable et compréhensif, vivant, car saches une dernière chose, je te comprend, te fais confiance, t'aime et te remercie, de me rappeler que l'inconscience que tu as, c'est celle que je te laisse, de ne pas avoir appris, comment te l'enlever.

 

Métadonnées

Saintes, Charente-Maritime, France

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