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Tout commence en 2003, à Paris. Fasciné par les peintures d’artistes de rues laissées sur les murs, Sébastien les photographie pendant plus de deux ans, inlassablement, les répertoriant par artiste, par quartier, par rue. Un travail de collectionneur plus que de photographe.
Curieux d’en connaître plus sur ce médium, il part au Québec, en 2005, suivre des études de photographie, au Cégep de Matane, en Gaspésie. Pendant plus de trois ans, il apprend le métier de photographe professionnel et y découvre les procédés alternatifs de photographie.
À son retour en France, il travaille dans un zoo afin de payer sa future aventure africaine.
Fin 2010, il embarque pour un voyage de trois mois, en Afrique de l’Ouest. Il traverse le Maroc, la Mauritanie et le Mali, à bord d’un poids lourd équipé en labo argentique ambulant.
L’Afrique le marque profondement.
Un bonheur n’arrivant jamais seul, il fait la connaissance, durant cette aventure, de Justine, sans savoir à ce moment, qu’elle sera désormais celle qui partagerait sa vie et ses passions pour la photo et les voyages.
Ensemble, en 2011, ils décident de commencer à donner des ateliers de photographie, aux enfants des écoles primaires, à Auvers-sur-Oise .
Forts de cette première expérience réussie, ils décident de créer l’Atelier des petits photographes, qui aura pour but la transmission des savoirs photographiques aux jeunes générations.
Fin 2013-2014, il repart sur les routes avec Justine. Toujours en Afrique de l’Ouest, mais en poussant le voyage jusqu’au Burkina-Faso, patrie du grand Thomas Sankara. Trois mois de voyage en camion au départ de France, à travers le Maroc, la Mauritanie, le Mali et le Burkina-Faso. Pendant ce voyage, il s’intéresse aux "gens de la débrouille", des réparateurs d’objets cassés aux vendeurs d’objets d’occasions, des femmes recycleuses du Burkina jusqu’à la débrouille du quotidien dans les pays traversés. En parallèle, il réalise un travail avec Justine sur l’éducation africaine et l’accès à la connaissance, dans des écoles au Mali et au Burkina-Faso. La transmission des savoirs et les sytèmes éducatifs sont devenus des thèmes importants dans son travail photographique.
* NB : Voilà pour la présentation à la "Alain Delon".
Je travaille en parallèle en tant qu'intervenant-photographe dans les écoles primaires avec ma copine. Nous donnons des ateliers de photographie argentique et de procédés alternatifs simples (sténopé, cyanotypie, Van Dyck, etc..) à des p'tits bouts de 6 à 11 ans.
Quand le temps le permet, nous sommes photographes ambulants, réalisant des portraits dans les rues de France et d'ailleurs, à prix libre, avec une camera box.
Nous fabriquons nos propres appareils de rues avec de la récup'.
Pour en savoir plus :
http://www.galerie-photo.com/photographie-de-rue.html
http://www.afghanboxcamera.com/abcp_gallery_issaMali.htm#gallery
Curieux d’en connaître plus sur ce médium, il part au Québec, en 2005, suivre des études de photographie, au Cégep de Matane, en Gaspésie. Pendant plus de trois ans, il apprend le métier de photographe professionnel et y découvre les procédés alternatifs de photographie.
À son retour en France, il travaille dans un zoo afin de payer sa future aventure africaine.
Fin 2010, il embarque pour un voyage de trois mois, en Afrique de l’Ouest. Il traverse le Maroc, la Mauritanie et le Mali, à bord d’un poids lourd équipé en labo argentique ambulant.
L’Afrique le marque profondement.
Un bonheur n’arrivant jamais seul, il fait la connaissance, durant cette aventure, de Justine, sans savoir à ce moment, qu’elle sera désormais celle qui partagerait sa vie et ses passions pour la photo et les voyages.
Ensemble, en 2011, ils décident de commencer à donner des ateliers de photographie, aux enfants des écoles primaires, à Auvers-sur-Oise .
Forts de cette première expérience réussie, ils décident de créer l’Atelier des petits photographes, qui aura pour but la transmission des savoirs photographiques aux jeunes générations.
Fin 2013-2014, il repart sur les routes avec Justine. Toujours en Afrique de l’Ouest, mais en poussant le voyage jusqu’au Burkina-Faso, patrie du grand Thomas Sankara. Trois mois de voyage en camion au départ de France, à travers le Maroc, la Mauritanie, le Mali et le Burkina-Faso. Pendant ce voyage, il s’intéresse aux "gens de la débrouille", des réparateurs d’objets cassés aux vendeurs d’objets d’occasions, des femmes recycleuses du Burkina jusqu’à la débrouille du quotidien dans les pays traversés. En parallèle, il réalise un travail avec Justine sur l’éducation africaine et l’accès à la connaissance, dans des écoles au Mali et au Burkina-Faso. La transmission des savoirs et les sytèmes éducatifs sont devenus des thèmes importants dans son travail photographique.
* NB : Voilà pour la présentation à la "Alain Delon".
Je travaille en parallèle en tant qu'intervenant-photographe dans les écoles primaires avec ma copine. Nous donnons des ateliers de photographie argentique et de procédés alternatifs simples (sténopé, cyanotypie, Van Dyck, etc..) à des p'tits bouts de 6 à 11 ans.
Quand le temps le permet, nous sommes photographes ambulants, réalisant des portraits dans les rues de France et d'ailleurs, à prix libre, avec une camera box.
Nous fabriquons nos propres appareils de rues avec de la récup'.
Pour en savoir plus :
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http://www.afghanboxcamera.com/abcp_gallery_issaMali.htm#gallery
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Perfection4990
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