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Après différents métiers pas toujours reluisants, comme analyste financier pour la grande industrie ou chef de projet porte-maquettes, Nicolas Boyer suit une formation à l’École des Gobelins, à une époque où l’on pouvait encore rater ses photos. S’ensuivent deux années de reportages à l’Hasselblad pendant lesquelles les trente derniers jours du mois sont financièrement difficiles. Ayant appris à travailler les images, il trouve une raison de se lever en devenant directeur artistique de 2005 à 2014, en œuvrant parfois plusieurs jours sur des packshots de spots publicitaires de trois secondes que personne ne regarde.
Il revient vers le photojournalisme en 2016 en n’ayant jamais vraiment quitté sa zone de confort, hormis le fait d’avoir pénétré par erreur un compartiment réservé aux femmes dans le métro du Caire. En 2019, il joue à la loterie du Sony World Photography Awards qu’il remporte avec la même conviction de légitimité que si l’équipe du Honduras remportait un Mondial de foot. Nouveau coup de bluff en 2020 avec cette fois la Mention spéciale du Prix Roger-Pic. Ce qui ne l’empêche pas de rester célibataire. Il parcourt depuis les paysages urbains en se demandant souvent ce qu’il fout là. En savoir plus
Il revient vers le photojournalisme en 2016 en n’ayant jamais vraiment quitté sa zone de confort, hormis le fait d’avoir pénétré par erreur un compartiment réservé aux femmes dans le métro du Caire. En 2019, il joue à la loterie du Sony World Photography Awards qu’il remporte avec la même conviction de légitimité que si l’équipe du Honduras remportait un Mondial de foot. Nouveau coup de bluff en 2020 avec cette fois la Mention spéciale du Prix Roger-Pic. Ce qui ne l’empêche pas de rester célibataire. Il parcourt depuis les paysages urbains en se demandant souvent ce qu’il fout là. En savoir plus
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Après différents métiers pas toujours reluisants, comme analyste financier pour la grande industrie ou chef de projet porte-maquettes, Nicolas Boyer suit une formation à l’École des Gobelins, à une époque où l’on pouvait encore rater ses photos. S’ensuivent deux années de reportages à l’Hasselblad pendant lesquelles les trente derniers jours du mois sont financièrement difficiles. Ayant appris à travailler les images, il trouve une raison de se lever en devenant directeur artistique de 2005 à 2014, en œuvrant parfois plusieurs jours sur des packshots de spots publicitaires de trois secondes que personne ne regarde.
Il revient vers le photojournalisme en 2016 en n’ayant jamais vraiment quitté sa zone de confort, hormis le fait d’avoir pénétré par erreur un compartiment réservé aux femmes dans le métro du Caire. En 2019, il joue à la loterie du Sony World Photography Awards qu’il remporte avec la même conviction de légitimité que si l’équipe du Honduras remportait un Mondial de foot. Nouveau coup de bluff en 2020 avec cette fois la Mention spéciale du Prix Roger-Pic. Ce qui ne l’empêche pas de rester célibataire. Il parcourt depuis les paysages urbains en se demandant souvent ce qu’il fout là.
Il revient vers le photojournalisme en 2016 en n’ayant jamais vraiment quitté sa zone de confort, hormis le fait d’avoir pénétré par erreur un compartiment réservé aux femmes dans le métro du Caire. En 2019, il joue à la loterie du Sony World Photography Awards qu’il remporte avec la même conviction de légitimité que si l’équipe du Honduras remportait un Mondial de foot. Nouveau coup de bluff en 2020 avec cette fois la Mention spéciale du Prix Roger-Pic. Ce qui ne l’empêche pas de rester célibataire. Il parcourt depuis les paysages urbains en se demandant souvent ce qu’il fout là.