L’hommage n’était pas voulu, mais l’hommage est là. Le concours NOIR(S) est l’occasion d’honorer le travail de Pierre Soulages et de sa quête obsessionnelle pour cette teinte si radicale depuis la fin des années 1970.
A vous de faire comme le maître de l’outrenoir, plongez dans les méandres du noir à travers le médium photographique. Comme les explorations sont infinies, nous souhaitions vous partager différentes séries participantes en guise d’inspirations : les lumières de la ville par Morfeuh, l’imaginaire de Mykhay Lo et les paysages de Nine Into. De purs régals !
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Le noir parmi les lumières de la ville
par Morfeuh
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Fin de journée, saison hivernale, la ville émerge de la nuit grâce à ses lumières blafardes. Chez Morfeuh, le temps semble s’arrêter pour laisser place aux douces étincelles de la nuit en toile de fond. Partout le noir en toile de fond permet de mettre en lumière les autres sources : les néons et autres réverbères qui se font une place dans la nuit.
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Le noir, berceau de l’imaginaire
par Mykhay Lo
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Mykhay Lo, utilise le noir pour nous raconter une histoire, pour susciter notre imaginaire, pour nous écrire un conte effrayant ou pas, le noir est ici un décor de théâtre, un dress-code Animal mystique, footing nocturne, images fantomatiques, tout est suggéré et c’est à nous de conter la fin de l’histoire.
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Le noir, comme maître du paysage
par Nine into
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Nine Into capture les paysages déjà obscurs d’Islande. Son noir souligne une composition, impose une ambiance : volcanique , crépusculaire, intime. Tout est là, pas besoin de sur-exposer, la lumière fait son travail.
⭐ POUR ALLER PLUS LOIN ⭐
☞ N’hésitez pas à jeter un oeil sur le super travail de Stéphane Lavoué
☞ N’hésitez pas à jeter un oeil sur le super travail deAlbin Millot
